« FUGUE DE LA RENAISSANCE AU BAROQUE, DU VISUEL A LA MUSIQUE »
Hommage à Philippe Beaussant (1930-2016)
« L’art italien, de Giotto à Léonard de Vinci, avait été un art de la « présence » dans l’espace. Une madone de Raphaël, comme la Vénus de Botticelli ou un portrait du Titien, quels que soient son mystère et sa distance, c’était quelque chose d’offert à notre regard et qui ne s’esquivait pas. Même le brouillard dont Léonard de Vinci noyait ses personnages ne les refusait pas à notre contemplation.